Faire ses études à l’ISG RH, c’est être formé(e) à un métier. Avec des cours donnés par des professionnels du secteur orientés « pratique terrain ». Et des alternances riches en apprentissages du quotidien d’une entreprise.
Déborah L., après un Mastère Ressources Humaines et une alternance chez Google, occupe aujourd’hui un poste stratégique pour un réseau social* leader connu de tous. Découvrez son feedback sur son expérience à l’ISG RH.
Parlez-nous en quelques mots de votre parcours avant l’ISG RH ?
J’ai commencé par une licence de LEA. Mais je me suis vite réorientée car hormis devenir prof d’anglais, il y a peu de débouchés dans cette filière. J’ai donc fait une licence économie-gestion en gestion des entreprises, spécialité « ressources humaine ».
Et par la suite, j’ai fait un Mastère Ressources Humaines à l’ISG RH.
Comment avez-vous entendu parler de l’ISG RH ?
J’ai fait mes recherches sur le Net. Je cherchais une école qui formait aux métiers des RH et je sentais que la technologie allait prendre une place de plus en plus importante dans la filière RH. Je m’intéressais au milieu tech et l’ISG RH était la seule école qui parlait de la notion de big data dans les fonctions RH.
Le reste des écoles proposaient des formations très classiques, loin de ce que sont les RH aujourd’hui.
C’est donc cet aspect tech qui a motivé votre décision de vous inscrire à l’ISG RH ?
Tout à fait. Et ensuite, la responsable des relations avec les entreprises de l’ISG RH que j’ai rencontré et qui avait insisté sur l’aspect « entreprises internationales » avec une majorité de cours en anglais dans le Mastère que j’avais choisi. Et ça, ce n’était absolument pas proposé dans les autres écoles !
Quels sont les 3 adjectifs qui vous viennent en tête spontanément pour décrire votre scolarité à l’ISG RH ?
Mise en situation, écoute et communication. Je m’explique :
- Il y avait des mises en situation comme si on était sur le terrain, et ça j’avais adoré. La théorie est importante, mais dans la fonction RH, il faut aussi savoir appliquer ce qu’on a appris une fois le Mastère en poche.
- Ensuite, l’écoute des enseignants qui développaient un lien avec nous de l’ordre de « professionnels avec de futurs professionnels ». C’était très valorisant.
- Enfin, il y a aussi le fait qu’on était une petite promo, le dialogue était donc plus facile entre les étudiants et la communication très fluide entre nous.
Il y a une matière ou un cours qui vous a marqué en particulier ?
Il y avait une matière qui était très axée « process RH ». Et à l’époque, ça ne faisait pas trop sens pour moi. On s’était tous demandés dans la classe « mais à quoi ça va nous servir ?! » Ça consistait concrètement à mettre en place des procédures pour effectuer une mission. Par exemple, l’onboarding : définir l’objectif, les missions, les stakeholders (les parties prenantes) et comment écrire un process pour atteindre l’objectif de manière efficace.
Or aujourd’hui, je me rends compte qu’elle est super importante dans mon métier de tous les jours. Ça fait partie des forces de l’école : inclure des cours vraiment utiles dans notre quotidien sur le terrain.
Demain, votre meilleure amie vous demande des conseils pour rentrer à l’ISG RH, que lui dites-vous ?
Je lui dirais que le jour de l’entretien, il ne faut pas qu’elle le vive comme un entretien, mais comme une conversation entre 2 professionnels ; l’un déjà en poste, et l’autre en devenir. Mais aussi d’être soi-même parce qu’à l’ISG RH, notre promo était très diverse, donc chacun peut être tel qu’il est, sans crainte d’être jugé. Et enfin, d’être transparente sur son projet professionnel car les enseignants sont vraiment disponibles pour nous aider à les réaliser. Si tu as des projets d’entreprenariat notamment, il ne faut pas hésiter à les partager.
Et les cours ? On est sur des cours magistraux théoriques ou sur des cours orientés pratique sur le terrain ?
On avait beaucoup de pratique plutôt que des cours en amphi, donc quelque chose de très ludique et plus intéressant que de s’asseoir dans une salle pendant 2 heures et écouter un prof.
Nos enseignants sont d’ailleurs des professionnels du secteur qui nous font vivre leurs expériences sur le terrain. Dans notre métier des RH, le partage de ces anecdotes est très important car ça nous permet de savoir comment réagir face à des situations parfois délicates.
Concernant votre alternance : comment l’avez-vous trouvé et avez-vous bénéficié d’un suivi des équipes de l’école à ce sujet ?
J’ai fait mon Mastère en alternance avec une entreprise que j’avais trouvé sur LinkedIn et j’ai été très bien accompagnée par mon tuteur en entreprise. L’école n’a donc pas eu à intervenir dans mon cas. Mais j’ai souvenir de camarades qui ont eu besoin de l’école pour trouver leur entreprise et être accompagnés pendant leur alternance et ça a été super bien fait.
Considérez-vous que cette expérience en entreprise vous a permis d’être opérationnelle rapidement dans votre poste actuel ?
Oui ! Notamment sur des points qui ne sont pas abordés en cours car ils ne sont pas liés à l’univers des RH ; typiquement : « comment préparer une réunion ? ». Ça parait anodin mais ces compétences du quotidien professionnel ne s’apprennent qu’avec l’expérience du terrain…
Votre poste actuel justement, parlons-en : vous travaillez dans quelle entreprise et quel est votre rôle ?
Je travaille pour un réseau social leader très connu en qualité de chargée de relations sociales (Labor Relations), c’est-à-dire que je suis responsable du CSE en France et également du dialogue social dans d’autres pays de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique).
Sans l’ISG RH, une carrière dans une boîte aurait-elle été envisageable ?
Disons que je pense que je suis dans cette entreprise parce que j’ai eu la chance de faire mon alternance chez Google. Le monde de la tech est un petit secteur, donc ça attire les employeurs d’avoir quelqu’un qui a déjà un pied dans ce milieu.
Etes-vous heureuse et épanouie dans votre job ?
Oui, parce que j’ai d’énormes opportunités d’apprentissages avec des possibilités d’évoluer en interne, ce qui est très challengeant !
*pour des raisons juridiques, la mention dudit réseau social n’est pas autorisée